Un arrêté de 2008 définissait comme zone humide tout terrain remplissant soit le critère pédologique, soit le critère botanique. En 2017, le Conseil d’Etat adopte une approche cumulative des deux critères. Finalement, en 2019, le législateur revient à une application alternative de ces critères. L’avocat Vianney Cuny revient sur les implications de ce revirement pour les projets d’aménagement et les documents d’urbanisme.